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Art - Art Reviews - Article | by Matteo Lucchetti in Art - Art Reviews on 09/08/2008 - Comments (0)
 
 
Louise Bourgeois @ London

«In order to liberate myself from the past I had to reconstruct it, ponder about it, making structure out of it. I get rid of it through making sculpture. I’m able to forget it afterwards. I’ve paid my debt to the past and I’m liberated.» ( Pour me libérer du passé j'ai du le reconstruir, méditer sur lui, obtenir des structures. Je me suis livrée grace à la sculpture. Subséquement j'ai reussì à lui oblier. J'ai payé mes dettes au passé et je me suis livrée).

 
 

«In order to liberate myself from the past I had to reconstruct it, ponder about it, making structure out of it. I get rid of it through making sculpture. I’m able to forget it afterwards. I’ve paid my debt to the past and I’m liberated.» ( Pour me libérer du passé j'ai du le reconstruir, méditer sur lui, obtenir des structures. Je me suis livrée grace à la sculpture. Subséquement j'ai reussì à lui oblier. J'ai payé mes dettes au passé et je me suis livrée).
Ainsí dit Louise Bourgeois dans le 1994 pendant une conversation avec Zevi Whatmough pour Arena Magazine, dans une des rare interviewes autorisées pour parler de son travaille. Ses paroles résument tout le travaille de cette artiste francaise naturalizée americaine, à l'age de quatrevent-dixsept ans cette artiste passe de célébration à célébration sans arrêter jamais de produire du noveau matériel. On parlait d'un passé de lequel se livrér, pauisque traumatisant et irrimediablement lié à la' image du père tirannic que a marqué elle et sa mère de tristesse, en les obligeaient a creer des petites formes de résistance aux violences psicologiques subit. Et si on peut, dans un sense, lire son oeuvre comme le produit d'une continue résistance aux grands conflits de sa vie – le père avant et le machisme du sistème de l'art ensuit – nous ne pouvont pas fatiguer en accueiller le fil rouge biographique que cette exibition chez la Tate Modern de Londre veut suivir. Se traite de observer, à traves des chambres contigues et bien balancées, la suite des étapes de sa production que inévitablement scande et trouve une correspondence dans l'alternance des différents moments de sa vie.
Au début il y a les ans de la formation parisiènne partagée entre les etudes philosophiques et académiques, mais aussi formée de experience comme restaurateur de tapisserie chez ses parents: c’est ici que elle apprende l’art de la couture – relation dirécte à l’image de la mère – que souvent entre, pas au hasard, dans son oeuvre de scultrice, faite de références et de “liaisons hypertextuelles” aux memoires personelles de son existence; de la même façon que cet embroiullé réseau que engendere le tapisserie. Les éclectiques jeune annés, que lui détacheront du père et de la bèlle-mère anglaise (celle que savait comme “changer Louise en bète sauvage”), sont le prelude de son transfert à New York capitale de avanguarde artistique dans les dernières cinquant ans du siècle passé, grace à son marriage avec l’historien de l’art Robert Goldwater. Une rencontre surement chanceuse, que lui ouvre au debat culturel americaine des ans ‘50 et ’60, à traves la connaissance des étudiantes comme Clement Greenber et Erwin Panofsky, ou des artistes comme John Cage, Marcel Duchamp, Willem De Kooning, Andrè Breton ou Marx Ernst.
La recherche de ces ans, liée au retraitement des inquiétudes dûes a sa vie à Paris, trouve nouveaux energies dans la collision-rencontre avec un sistème de l’art aussi progressiste que misogyne, c'est-à-dire réfractaire en ce qui concerne certaine nouveautés que viennent des artistes femmes. Sa souffi penser aux sculptures faites de matériaux malléables (comme le plâtre et le latex) et organiques, de la fin des ans ’60, pendant lesquels la critique insére la Bourgeoise dans celle nouvelle génération des artistes que réagissent contre le Minimalisme, entre Bruce Nauman et Eva Hesse.
Parmi ceux-ci The Lair ou Fèe Couturière, nids flottants dans l’espace, les deux developpés autour du concept du terrier d’animal vu comme réparation et trappe en même temps; un dualisme que réside dans la pluspart de ses oeuvres suivantes sur différents niveaux: les spirales, vues dans une sense phisique et métaphorique, comme la tentative de contrôler le chaos au moyen de ses extrèmes (Labyrinthine Tower, 1962), la dimension sexuelle comme ambigue union de féminin et masculin pour une la compresence, dans les sculptures comme Filette ou même Le Trani Episode, de rigiditée et flexibilitée des materiels employés. “Vulnérabilité et aggressivité, communauté et solitude”, ainsi elle est definìe la Bourgeois dans ces ans de la part de Manna Warner.
Les sculptures produites en Italie sont appelées avec les nommes des lieux que les ont vues naître et, pas au cas, Avenza et Avenza Revisited II , ont conduit l'artiste à developper les dichotomies citées au-dessus même à traves l'employage du marbre, en obtenant, peut-être, les resultats les moins persuadent. Les conceptions formelles énoncées par ceux travaux-ci se trouvent complètement dans la première vrais installation de Louis Bourgeois: The Destruction of the Father (le détruiment du père), présent comme le sommet de la sculpture fait des materiaux organiques, aussi bien que, au nivel personel d'une nette fermeture avec son passé douloureus, pour se diriger vers des nouveaux sintèses de son histoire et de son vécu. Cette sont les “Celle” toutes de récent production, dans les quelles la pratique installative se rendt de plus en plus scénographique et les metaphores visives choisies encore plus recherchées et complèxes.
Parmi les travaux les plus icônics de son itinéraire on ne peut pas oublier les sculpture sous forme d'araigné; un animal que l'artiste a toujours reconnu comme bienveillant et dans lequel elle a reversé tout son amour vers sa mère que, comme un araigné, a su tisser pour la protéger, tisser pour vivre et parfois, tisser pour se cacher.
«I’m a long distance runner. It takes years, years and years to produce what I do. I’m a long distance runner and I’m also a lonely runner and that’s the way I want it. » (Je suis un coureur de long-fond. Je nécesite ans, ans et ans pour produir ce que je produis. Je suis un coureur de long-fond et je suis aussi un coureur seul. Ce-ci est le moyen que je veut.)

 
Louise Bourgeois @ London

In occasione della grande retrospettiva dedicata all'artista francese naturalizzata americana, Louise Bourgeois, si propone un articolo di approfondimento relativo alla tappa alla Tate Modern di Londra di questo grande evento, che successivamente è stato ospitato al Centre Pompidou di Parigi, fino allo scorso giugno.

 
 

«In order to liberate myself from the past I had to reconstruct it, ponder about it, making structure out of it. I get rid of it through making sculpture. I’m able to forget it afterwards. I’ve paid my debt to the past and I’m liberated.» ( Per potermi liberare dal passato ho dovuto ricostruirlo, rifletterci sopra, ricavarne delle strutture. Me ne sono liberata facendo scultura. Successivamente sono stata capace di dimenticarlo. Ho pagato i miei debiti al passato e ne sono libera).

Così parla Louise Bourgeois nel 1994 a colloquio con Zevi Whatmough per Arena Magazine, in una delle rare interviste concesse per parlare del suo lavoro. Ed è in queste parole che sembra potersi riassumere tutto il lavoro dell’artista francese naturalizzata americana, che all’età di novantasette anni passa di celebrazione in celebrazione senza mai smettere di produrre nuovo materiale.
Un passato di cui liberarsi, si diceva, poiché traumatico e irrimediabilmente legato alla figura di un padre tirannico che ha reso lei e la madre infelici, portandole a creare quotidianamente piccole forme di resistenza alle violenze psicologiche subite. E se possiamo, in un certo senso, leggere la sua opera come frutto della continua opposizione verso i grandi conflitti della sua vita – il padre prima e il maschilismo del sistema dell’arte poi – non faticheremo di certo ad accogliere il fil rouge biografico che questa mostra alla Tate Modern di Londra intende seguire. Si tratta infatti di osservare, attraverso stanze contigue e ben bilanciate, il susseguirsi delle varie fasi della sua produzione che inevitabilmente scandisce e trova corrispondenza nell’avvicendarsi dei diversi momenti della sua vita.
Ad aprire sono gli anni della formazione parigina divisa fra gli studi filosofici e quelli accademici, ma fatta anche di esperienza presso l’attività di restauratori di arazzi dei genitori: è qui che impara l’arte del cucito – connessione diretta alla figura della madre – che spessissimo entra, e non a caso, nella sua opera di scultrice, fatta di rimandi e di “collegamenti ipertestuali” tra i ricordi personali della sua esistenza; alla stessa maniera di quell’intricata rete di fili che dà vita all’arazzo. Gli eclettici anni giovanili, che la porteranno a distaccarsi dal padre e dalla matrigna inglese (colei che seppe «tramutarla in una bestia selvaggia» come afferma nella sopraccitata intervista), sono preludio del suo trasferimento nella New York capitale dell’avanguardia artistica degli ultimi cinquant’anni dello scorso secolo, grazie al suo matrimonio con lo storico dell’arte Robert Goldwater. Un incontro sicuramente fortunato, che riuscì ad aprirle, vedendola spesso come protagonista relegata sullo sfondo, del dibattito culturale americano degli anni ’50 e ’60, attraverso la conoscenza di studiosi come Clement Greenber e Erwin Panofsky, oppure di artisti come John Cage, Marcel Duchamp, Willem De Kooning, Andrè Breton o Marx Ernst.
La ricerca di quegli anni, connessa alla rielaborazione delle ansie legate alla sua vita a Parigi, trova quindi nuove energie dallo scontro-incontro con un sistema dell’arte tanto progressista quanto misogino, ovvero refrattario rispetto a certe novità provenienti da artiste donne. Basti pensare alle sculture fatte di materiali malleabili (come il gesso e il lattice) ed organici, di fine anni ’60, che portarono la critica ad inserirla in quella nuova generazione di artisti che reagirono contro il Minimalismo, in mezzo a Bruce Nauman ed Eva Hesse. Tra queste The Lair oppure Fèe Couturière, nidi sospesi nello spazio, entrambi sviluppati attorno al concetto della tana animale vista come riparo e trappola allo stesso tempo; un dualismo che tenderà a popolare gran parte della sua opera successiva su ulteriori livelli: le spirali, viste in senso fisico e metaforico come tentativo di controllare il caos per mezzo dei suoi estremi (su tutte Labyrinthine Tower, 1962 ), la dimensione sessuale come ambigua unione di maschile e femminile nella compresenza, in sculture come Filette oppure Le Trani Episode, di rigidità e flessibilità dei materiali impiegati. «Vulnerabilità e aggressività, comunità e solitudine», così viene definita la Bourgeois in quegli anni da Manna Warner.
Le sculture prodotte in Italia portano il nome dei luoghi che le hanno viste nascere e, non a caso, Avenza e Avenza Revisited II hanno condotto l’artista a sviluppare le dicotomie sopraccitate anche attraverso l’impiego del marmo, ottenendo, forse, i risultati meno convincenti. I concetti formali espressi da questi lavori si ritrovano compiutamente in quella che è stata la prima vera installazione della Bourgeois: The Destruction of the Father (la distruzione del padre) si presenta come la summa della scultura fatta di materiali organici, nonché, a livello personale di una netta chiusura con il passato doloroso, per dirigersi verso nuove sintesi della sua storia e del suo vissuto. Sono queste le “Celle”, tutte di recentissima produzione, nella quali la pratica installativa si fa sempre più scenografica e le metafore visive scelte ancora più ricercate e complesse.
Tra i lavori più iconici di tutto il suo percorso non si possono non ricordare le sculture a forma di ragno; un animale che l’artista ha sempre riconosciuto come benevolo e nel quale ha riversato il suo amore verso sua madre che, come un ragno, ha saputo tessere per proteggere, tessere per vivere e talvolta, tessere per nascondersi.

«I’m a long distance runner. It takes years, years and years to produce what I do. I’m a long distance runner and I’m also a lonely runner and that’s the way I want it. » ( Sono un corridore di fondo. Mi ci vogliono anni, anni e anni per produrre ciò che produco. Sono un corridore di fondo e sono anche un corridore solitario. E questo è il modo in cui voglio che sia.)

 


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Reg. Court of Palermo (Italy) n°21, 19.10.2001
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Copyright in Italy and abroad is held by the publisher Edizioni De Dieux or by freelance contributors. Edizioni De Dieux does not necessarily share the views expressed from respective contributors.

Bibliography, links, notes:

Pen: Matteo Lucchetti
French version: Arianna Carcano
Link:
www.tate.org.uk/modern/

www.tate.org.uk/modern/exhibitions/louisebourgeois/default.shtm

 
 
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Louise Bourgeois, The Destruction of the Father, 1974, Courtesy Cheim and Read, Galerie Karsten Greve and Galerie Hauser & Wirth, © Louise Bourgeois
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Louise Bourgeois, Seven in Bed, 2001, Fabric, stainless steel, glass and wood, Courtesy Cheim and Read, Galerie Karsten Greve and Galerie Hauser & Wirth, © Louise Bourgeois
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Louise Bourgeois, Spider 1997, Steel, tapestry, wood, glass, fabric, rubber, silver, gold and bone, 4450 x 6660 x 5180 mm, Courtesy Cheim and Read, Galerie Karsten Greve and Galerie Hauser & Wirth, © Louise Bourgeois
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Louise Bourgeois, Cumul I, 1969, Centre Pompidou, MNAM, Paris © Louise Bourgeois
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