April 19 2024 | Last Update on 16/03/2024 20:18:13
Sitemap | Support succoacido.net | Feed Rss |
Sei stato registrato come ospite. ( Accedi | registrati )
C'è 1 altro utente online (-1 registrati, 2 ospiti). 
SuccoAcido.net
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Latest | Arts | Environments | Art Places | Art Knowledges | Art Festivals | Reviews | Biblio | Web-Gallery | News | Links
Art - Environments - Interview | by Costanza Meli in Art - Environments on 16/05/2006 - Comments (0)
 
 
TEVERETERNO

Tevereterno est un hommage à l’histoire de Rome, comme on entend bien à partir du nom de la manifestation, mais il s’agit aussi d’une proposition pour la relance d’une zone de la ville très particulière qui a été dépassée par l’histoire, avec le risque concret, aujourd’hui, d’être définitivement oubliée.

 
 

Tevereterno est un hommage à l’histoire de Rome, comme on entend bien à partir du nom de la manifestation, mais il s’agit aussi d’une proposition pour la relance d’une zone de la ville très particulière qui a été dépassée par l’histoire, avec le risque concret, aujourd’hui, d’être définitivement oubliée.
Le fleuve Tevere est sans doute l’axe principale de Rome : il partage l’espace urbain en deux parties, il traverse une des zones les plus riches de témoignages architecturales et artistiques, il constitue enfin un patrimoine de mémoire. Malgré tout cela, il s’agit d’une zone presque invisible pour la majorité de la population romaine, qui la traverse tous les jours sans remarquer ce qui reste des grands murs qui délimitent les bords du fleuve Tevere.
Le projet de Kristin Jones et Gaia Cianfanelli vise a remettre le fleuve au centre de la vie de la ville à travers l’intervention de l’art, au fin de provoquer une nouvelle acquisition du lieu qui puisse représenter une réflexion importante sur l’espace urbain.
Kristin Jones travaille depuis cinq années à cette idée et finalement, en Juin 2005, elle a terminé la première installation d’art contemporaine qui a donnée une grande visibilité au projet.
Il s’agissait d’une intervention multidisciplinaire, comme il souligne l’organisatrice Gaia Cianfanelli, qui a développé un discours riche autant d’un point de vue historique que iconographique.
Le titre de l’installation Solstizio d’estate (Solstice d’été), est lié au jour de l’inauguration (le 21 Juin), mais au niveau de la signification il fait référence à l’histoire et à la mythologie. La naissance de Rome, par exemple : « Le Temple de Vesta qui gardait le feu sacré se trouvait à l’origine sur les bords du Tevere ; et sur ces rives Rea Silvia rencontra Mars, de leur rencontre naîtront Romolo et Remo… » nous rappelle Gaia Cianfanelli.
L’installation a été construite sur la base de trois éléments constitutifs : le feu, le son et les ombres. 2758 torche ont été placées. Le nombre des torches témoigne les années passé à partir de la naissance mythologique de la ville de Rome. Le son a été modulé au fin de rappeler la « voix » du fleuve. Envoûtée par l’atmosphère crée par la lumière des torchés, des images historiques de la Loupe étaient projetées sur les grands murs qui délimitent les rives du fleuve.
L’utilisation du symbole a été donc fondamentale pour la création de la première intervention sur l’espace publique du fleuve qu’on veut de plus en plus transformer dans un musée en plein air.
Il est intéressant comprendre combien cette expérience et celles qui viendront, puissent rentrer dans un raisonnement plus générale, avec une visibilité de caractère internationale, centré sur la ville de Rome et sur son spécifique héritage mythique et historique. A ce propos, il est fondamentale le rôle du site web www.tevereterno.it, qui, contribuera à la diffusion des contenus du projet.
Le projet de Kristin Jones et Gaia Cianfanelli, montre comme le lien avec l’histoire de Rome peut représenter le point de départ pour un parcours d’interventions site specific basé sur l’étude des caractères historiques et culturels des lieux choisis. Ce raisonnement mène a concevoir le lieu avant tout comme locus, plutôt que comme espace d’exposition.

SA: Quelle est l’opinion de Gaia Cianfrelli par rapport à la question de la mise en contexte de l’intervention artistique?
GC: Si nous pensons l’éspace comme un texte urbain, et au langage comme son parcours culturel, la parole devienne l’intervention artistique qui le révèle.
Dans notre cas, le trait du bord du Tevere choisi se montrait comme un grand vide qu’il fallait animer à travers une intervention artistique, qui, pour devenir corps de l’espace devait se confronter inévitablement avec l’histoire de la ville, avec son fleuve et avec sa réalité contemporaine.
La question du rapport de l’art avec le contexte, s’exprime au mieux quand le dialogue ouvert entre art et ville est centrale.

SA: Qu’est-ce qu’on peut attendre pour le futur ? Je pense par exemple à la question du rapport avec le public local et étranger. Les romains auront un nouveau musée ? Un nouvel espace de rencontre ? La différence est évidente : chaque lieu peut être conçu comme un contexte pour des différentes actions. Il peut être vue comme un espace pour les nouveautés, et être équipé pour cela, ou comme un espace pour les citoyens. Sans établir à l’avance des opinions sur les différentes utilisations des lieux, il me semble important comprendre quel est le point de vue de l’organisatrice du projet dans la planification des activités prochaines.
Je demande aussi à Gaia Cianfanelli, comme il considère le rapport entre commettant et citoyens.
GC: Dans un futur proche, ce projet veut créer un espace pour la public art, une place fluviale nommée Place Tevere, où les artistes italiens et étrangers puissent se confronter, considérant la ville de Rome comme la ville la plus adaptée pour recouvrir ce rôle.
Il ne s’agit pas seulement d’un musée en plein air, mais aussi d’un lieu de rencontre.
Pour la première oeuvre « exposée », “Ombre sui muraglioni”, douze grandes images des loupes sont émergées sur les murs des bords du Tevere grâce à une opération de nettoyage. L’espace urbain est devenu un lieu culturel où vivre l’art, se balader en vélo ou en canoë tout en regardant les œuvres. C’est la façon d’habiter l’espace qui donne unicité et force communicative à l’œuvre, et la ville même, avec ses habitants, lui donnera une identité.
Le projet Tevereterno aura une coordination technique et un comité scientifique qui auront la fonction de rédiger la programmation culturelle. Ce ne sera seulement à moi de décider les langages possibles ; Kristin Jones aura la direction artistiques avec l’Association Tevereterno qu’elle a constitué, dont ils feront partie des architectes et des urbanistes qui ont inséré l’espace choisi par notre projet, dans le nouveau plan d’aménagement urbanistique de la ville de Rome.
Vues les différentes professionnalités engagées pour le développement du projet Tevereterno, on veut établir une politique culturelle commune avec le Ministère de la Culture (Darc), la Province de Rome, la Région du Lazio, et la Mairie de Rome, avec son bureau pour les biens artistique de la ville, qui représente notre interlocuteur principale.
La participation du bureau pour les biens artistique de la ville, qui est une sorte de gardien des beautés artistique de Rome, est significative car il exprime l’idée selon laquelle « avec ce projet une partie du tissu historique de la ville devienne l’humus sur lequel faire converger des différentes expressions artistiques. Ainsi l’art contemporain se substitue au monument et devient elle-même monument capable de rejoindre des très hautes niveaux de qualité dans la composition de l’espace urbanistique ». (Arch. Maurizio Anastasi Directeur de l’Unité Technique du bureau pour les biens artistique de la ville de Rome)
Le projet veut ainsi rendre évidente la mémoire du lieu et démarrer un procès de re-acquisition de l’espace urbain de la part de la ville, où l’art, l’architecture et l’urbanisme donne une nouvelle voix au paysage.

SA: J’ai été particulièrement touchée par une expression de Gaia Cianfanelli qui dénote une attention particulière pour la recherche, pour l’innovation et surtout, pour la re-définition des certaines notions de l’art publique des derniers quinze ans. Des éléments comme l’auto-référencialité et la monumentalisation, qu’une fois étaient fondamentales pour la production d’œuvres publiques, aujourd’hui sont substitués par des enquêtes critiques sur le territoire qui pensent à une redéfinition de l’espace avec une attention particulière à l’histoire, à la collectivité et aux conflits qui se créent entre environnement naturel, espace urbain et vie.
Plusieurs fois les exigences du commettant ont mis en relation l’intervention avec le monument. Ce processus, à Rome, a été rendu encore plus important par la tradition séculaire qui a toujours vu dans la grandeur de l’œuvre publique le miroir de sa propre magnificence. La question centrale, aujourd’hui, ce n’est pas de répondre avec une approche minimaliste typique d’une intervention conceptuel, mais, au contraire, enquêter avec attention l’origine de certaines attentes liées à l’image de la ville. Dans ce sens peut être intéressant raisonner sur ce qui met en relation le commettant et le public, pour organiser les projets en fonction de son public.
GC: Les projets artistiques pour la ville, je pense, ne doivent pas s’articuler seulement en fonction du public. Mieux, ce ne sont pas les œuvres d’art qui naissent en fonction de ce dernier ; elles sont liées à l’espace, elles en deviennent partie et c’est dans ce sens qu’elles puissent devenir un vecteur sociale pour le public, stimulus à la réflexion pour toute la ville. L’art ainsi conçue, est l’union entre l’espace de la ville et les pratiques artistiques qui s’organisent à l’intérieur. Elle est métaphore du rapport complexe que nous avons avec la ville.

 
TEVERETERNO

Una piazza fluviale al centro di Roma
Un’artista americana, Kristin Jones e una giovanissima curatrice romana, Gaia Cianfanelli, sono le promotrici di un progetto d’arte pubblica al centro di Roma.

 
 

Tevereterno è un omaggio alla storia di Roma, come lascia facilmente intendere il titolo, ma anche una proposta di rilancio di una zona cittadina molto particolare che proprio dalla storia è stata scavalcata rischiando, nell’attualità, di rimanere persino inosservata. Il Tevere è senza dubbio l’asse di Roma, solca e divide lo spazio urbano, percorre una delle aree maggiormente ricche di testimonianze architettoniche e artistiche, costituisce un patrimonio di memoria. Nonostante questo è ormai quasi invisibile a molta parte della popolazione che lo attraversa ogni giorno senza neppure scorgere ciò che resta oltre gli altissimi muraglioni che segnano gli argini.
Un progetto che rimetta al centro della vita cittadina il fiume e lo faccia attraverso l’intervento dell’arte rappresenta un’ipotesi di riappropriazione culturale che potrebbe costituire un esempio importante di riflessione sul territorio.
Kristin Jones lavora da cinque anni su tale ipotesi e finalmente, nel giugno del 2005, ha portato a termine la prima installazione d’arte contemporanea che ha dato visibilità ampia al progetto.
Si è trattato di un intervento multidisciplinare, come sottolinea la curatrice, che ha messo in atto un discorso carico di componenti storiche e iconografiche.
Il titolo dell’installazione, Solstizio d’estate, è legato al giorno in cui è stata inaugurata, ma sul piano del significato i riferimenti attengono alla storia e alla mitologia. La nascita di Roma ad esempio: il Tempio di Vesta che custodiva il fuoco sacro si trovava originariamente sulle rive del fiume, su queste rive Rea Silvia venne visitata da Marte e dal loro incontro nacquero Romolo e Remo… ci ricorda la curatrice. L’installazione è stata pertanto costruita sulla base di tre elementi evocativi: il fuoco, il suono e le ombre concretamente alimentati da 2758 fiaccole, numero che testimonia degli anni trascorsi dalla mitologica nascita della città. Il suono è stato modulato in modo tale da richiamare la voce del fiume e, avvolte dall’atmosfera generata dalle fiamme, le immagini storiche della Lupa si stagliavano come ombre sulle pareti degli argini.
L’utilizzo del simbolo è stato dunque determinante nell’ideazione della prima opera-intervento su questo spazio pubblico di cui si vuole tentare un uso sperimentale come museo all’aperto. Può essere interessante capire quanto dell’elaborazione di questo progetto e quindi delle future iniziative rientri nell’ambito di un ragionamento centrato su Roma e le sue specifiche eredità mitiche e artistiche rispetto ad una gamma di possibilità d’utilizzo ampia e di portata internazionale. A questo proposito è fondamentale l’apporto del sito web www.tevereterno.it, che, sebbene sia ancora in fase di aggiornamento, chiarisce l’impostazione del progetto stesso. Appare preponderante il riferimento alla storia di Roma come spunto da cui partire per delineare un percorso di interventi site specific fondati sullo studio delle caratteristiche storiche e culturali del luogo. Ciò fa pensare ad una considerazione dello spazio inteso come locus, prima che come sede espositiva.

SA: Come intende Gaia Cianfanelli la questione della contestualizzazione dell’intervento artistico?

GC: Se pensiamo allo spazio come un testo urbano, al linguaggio come il suo percorso culturale, la parola diventa l’intervento artistico che lo rivela.
In questo caso il tratto rettilineo percorso dal Tevere appare come un grande vuoto ambientale ed urbano da animare attraverso l’arte che per diventare corpo dello spazio inevitabilmente deve confrontarsi con la storia della città, con il suo fiume e la realtà contemporanea.
La questione della contestualizzazione dell’arte si esprime al meglio ascoltando il dialogo qui all’aperto tra arte e città.

SA: Cosa possiamo aspettarci per il futuro? Mi viene in mente ad esempio la questione dell’interazione con il pubblico inteso come fruitori locali e stranieri. I romani avranno a disposizione un nuovo museo? Oppure un luogo di ritrovo? La differenza è evidente: ogni luogo può infatti costituire un contesto per azioni differenti, a seconda che lo si consideri come un contenitore di novità, e lo si attrezzi per questo, o come uno spazio a disposizione dei cittadini. Senza stabilire a priori delle valutazioni in merito ai differenti utilizzi, mi sembra comunque importante capire quale punto di vista assume la curatrice del progetto nell’approntare un programma delle prossime attività.
Chiedo a Gaia Cianfanelli dunque anche come intenda l’interazione tra committenza e cittadini.
GC: In un futuro prossimo questo progetto vuole creare uno spazio per la public art, una piazza fluviale nominata Piazza Tevere, dove artisti italiani ed internazionali possono confrontarsi e candida la città di Roma ad empiere questo ruolo.
Non solo un museo sotto il cielo ma anche un luogo di ritrovo. Se pensiamo alla prima opera che ha caratterizzato lo spazio “Ombre sui muraglioni”: 12 grandi immagini di lupe sono emerse dal muraglione del Tevere attraverso la sua pulitura, lo spazio urbano è diventato luogo culturale dove fruire arte, andare in bicicletta sotto l’opera, o in canoa al fianco delle grandi figure. E’ il modo di abitare lo spazio che le dona unicità e potere comunicativo e sarà la stessa città con i suoi abitanti a conferirne l’identità.
Il progetto Tevereterno e quindi lo spazio scelto avrà un coordinamento tecnico ed un comitato scientifico con la funzione di redigere la programmazione culturale. Non spetterà ovviamente soltanto a me decidere i linguaggi possibili e kristin Jones rimarrà direttrice artistica insieme all’Associazione culturale Tevereterno da lei costituita, di cui fanno parte architetti ed urbanisti che hanno portato lo spazio, attraverso un progetto preliminare, nel nuovo Piano regolatore di Roma.
Per le tante competenze che insistono sullo spazio scelto, per portare avanti il progetto Tevereterno si vuole arrivare a comporre una politica culturale comune tra Ministero (Darc), Provincia, Regione e Comune ed è questo con la sua Sovrintendenza ad essere il nostro interlocutore principale.
È significativo il suo coinvolgimento, l’ente istituzionale, custode e protettore del patrimonio storico della città, partecipa a questo progetto perché crede che “Una parte di tessuto storico diviene l’humus su cui far convergere espressioni d’arte ed è l’arte contemporanea che si sostituisce al monumento e diviene essa stesso monumento in grado di definire massimi livelli di qualità nella composizione dello spazio urbano” (Arc. Maurizio Anastasi- Direttore dell’Unita Tecnica della Sovrintendenza ai Beni Culturali del Comune di Roma)
Il progetto così vuole rendere manifesta la memoria del luogo e avviare un processo di riappropriazione da parte della città dove arte, architettura ed urbanistica donano voce al paesaggio urbano.

SA: Mi ha colpito particolarmente un’espressione di Gaia Cianfanelli che denota una particolare attenzione alla ricerca, all’innovazione e soprattutto alla ridefinizione di certe nozioni che hanno accompagnato l’arte pubblica negli ultimi 15 anni.
“Elementi un tempo fondanti per la produzione di opere pubbliche come l’autoreferenzialità e la monumentalizzazione ora lasciano il posto ad indagini critiche sul territorio rivolte ad una ridefinizione dello spazio attenta alla storia, alla collettività, ai conflitti creati tra ambiente naturale, spazio urbano e vita.”
Molte volte infatti le esigenze della committenza hanno connesso l’intervento con il monumento e questo a Roma è rafforzato da una tradizione secolare che ha visto nella grandiosità dell’opera pubblica lo specchio della propria magnificenza. La questione, oggi, non è rispondere a tale mentalità con il minimalismo di un intervento concettuale, ma indagare scrupolosamente la matrice di determinate aspettative legate all’immagine di una città. In tal senso allora può essere interessante ragionare su ciò che mette in relazione committenza e pubblico, per articolare i progetti in funzione della loro utenza.
GC: I progetti artistici per la città penso non debbano essere articolati soltanto in funzione del pubblico o meglio non sono le opere d’arte a nascere in sua funzione ma queste, legate allo spazio diventano parte di esso ed è così che possono essere vettore sociale per il pubblico, stimolo di riflessione per la città tutta. L’arte è qui l’unione tra lo spazio e le pratiche artistiche che si modellano al suo interno e si fa metafora del complesso rapporto che noi abbiamo con la città.

 


© 2001, 2014 SuccoAcido - All Rights Reserved
Reg. Court of Palermo (Italy) n°21, 19.10.2001
All images, photographs and illustrations are copyright of respective authors.
Copyright in Italy and abroad is held by the publisher Edizioni De Dieux or by freelance contributors. Edizioni De Dieux does not necessarily share the views expressed from respective contributors.

Bibliography, links, notes:

Pen: Costanza Meli

French version: Ruggero Di Maggio

Link: www.tevereterno.it

 
 
  Register to post comments 
  Other articles in archive from Costanza Meli 
  Send it to a friend
  Printable version


To subscribe and receive 4 SuccoAcido issues
onpaper >>>

To distribute in your city SuccoAcido onpaper >>>

To submit articles in SuccoAcido magazine >>>

 
............................................................................................
solstizio
............................................................................................
solstizio
............................................................................................
solstizio
............................................................................................
............................................................................................
............................................................................................
............................................................................................
FRIENDS

Your control panel.
 
Old Admin control not available
waiting new website
in the next days...
Please be patience.
It will be available as soon as possibile, thanks.
De Dieux /\ SuccoAcido

SuccoAcido #3 .:. Summer 2013
 
SA onpaper .:. back issues
 

Today's SuccoAcido Users.
 
Today's News.
 
Succoacido Manifesto.
 
SuccoAcido Home Pages.
 

Art >>>

Cinema >>>

Comics >>>

Music >>>

Theatre >>>

Writing >>>

Editorials >>>

Editorials.
 
EDIZIONI DE DIEUX
Today's Links.
 
FRIENDS
SuccoAcido Back Issues.
 
Projects.
 
SuccoAcido Newsletter.
 
SUCCOACIDO COMMUNITY
Contributors.
 
Contacts.
 
Latest SuccoAcido Users.
 
De Dieux/\SuccoAcido records.
 
Stats.
 
today's users
today's page view
view complete stats
BECOME A DISTRIBUTOR
SuccoAcido Social.