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Cinema - Film Reviews - Review | by GiorgioLisciandrello in Cinema - Film Reviews on 11/03/2010 - Comments (0)

 
 
L'uomo che verrà / Giorgio Diritti / 2010 / 117'

Sur le fond historique du célèbre « Massacre de Marzabotto », qu'il vit tués des représailles allemandes environ 770 personnes entre des hommes, femmes et enfants, George Droits acclimate sa nouvelle pellicule, cinq ans après le précédent le vent il y à son tour, film révélation de 2005.

 
 

Directeur : Giorgio Diritti

Scènario: Giorgio Diritti, Giovanni Galavotti, Tania Pedroni

Interprètes : Maya Sansa (Lena), Alba Rohrwacher (Beniamina), Claudio Casadio (Armando), Greta Zuccheri Montanari (Martina), Stefano “Vito” Bicocchi (il Signor Bugamelli), Eleonora Mazzoni (la Signora Bugamelli), Orfeo Orlando (il mercante), Diego Pagotto (Pepe), Bernardo Bolognesi (partigiano Gianni), Stefano Croci (Dino), Zoello Gilli (Dante), Timo Jacobs (Ufficiale medico SS), Germano Maccioni (Don Ubaldo), Taddhaeus Meilinger (Capitano SS), Francesco Modugno (Antonio), Maria Grazia Naldi (Vittoria), Laura Pizzirani (Maria), Frank Schmalz (Ufficiale Wermacht), Tom Sommerlatte (Ufficiale SS), Raffaele Zabban (Don Giovanni)

Durée: 117 min

Nazionalité: Italie

Année: 2010

Genre : Dramatique

Distribution : Mikado

Production : Orange Film et RAI Cinéma

 

Martina est une fillette de huit ans qu'il vit aux flancs des Appennins bolonais dans une famille paysane. Vivement traumatisée pour avoir assisté à la mort du fratellino à peine née, événement qu'elle a rendu muette l'et qu'il leur impose de communiquer à travers les gestes seulement ou grâce à quelque feuillet écrit, témoin de la tragédie immense se retrouve passée à l'histoire comme le "Massacre de Marzabotto." Les événements de la famille et de la communauté à laquelle il appartient ils se mélangent aux événements historiques: Lena, la mère de Martina est enceinte de nouveau et la famille vit avec anxiété les mois d'attente pendant que l'aggravation des collisions dûes à la guerre en cours rend difficile de plus en plus la vie de la communauté. Nous sommes dans le hiver de 1943, l'armistice parmi Badoglio et les Anglo-américains a été déjà signés et l'Italie se trouve divisée dans deux, occupée à sud des forces Alliées et au nord de l'armée Nazie dans j'appuie à la République de Saler. Des groupes de partisans commencent à se former dans tout la nord-Italie, en donnant lieu à ce mouvement de Résistance qui rendra dignité à peuple italien compromis de décennies de dictature fasciste. L'homme qui viendra met en évidence une fois de plus la nécessité de revenir raisonner sur un des moments fondamentaux de l'histoire nationale de 900, la chute du Fascisme et la lutte partisane au-delà de la Ligne Gothique. J'argue que, paradoxalement, il recrée toujours forts heurte à l'intérieur de l'opinion publique d'un pays comme l'Italie qui choisit alors de caractériser sa nouvelle Constitution sur les valeurs de l'Antifascisme. Cette ambiguïté de fond, qui est à la de base de l'histoire italienne de l'après-guerre à aujourd'hui, justifie à mon avertis la necessité de tourner chaque tourne sur ce passage qui évidemment n'a été jamais résolu et que chaque il tourne que semble glisse lentement vers l'oubli revient en manière autoritaire, comme une blessure ouverte jamais assainie. Beaucoup de des périodes chaudes de la seconde neuf cents italien trouvent leur justification dans ce noeud jamais dénoué : les tumultes éclatés suite à l'exclusion de PCI des gouvernements démocrate-chrétiens vite après la guerre, les journées du Juillet 1960, la formation des Brigades Rouges qui présentent déjà dans le nom un evident appel à la bataille partisane, et le climat de contraposition violente qui marque la vie de beaucoup de villes italiennes dans les ans ` ‘70 et ‘80. Mais à dire le vrai, l'homme qui viendra n'est pas un film intrinsèquement historique-politique, l'oeuvre parle principalement de la disparition d'un monde qui coulait ses racines dans une culture millénaire, où la quotidianità des gens était basée sur un équilibre de réciproque besoin parmi Homme et Nature. Un monde et une manière de vivre lié au cycle naturel des saisons, à une religiosité spontanée et populaire, à des rites qui l'appartenance elles rendaient encore plus manifestes à un groupe. Évident le rappel au célèbre L'arbre des sabots d'Ermanno Ormes: le choix du dialecte qui renforce le lien des personnages avec le milieu environnant, les paysages et les endroits qui assument un rôle de protagonistes, la simplicité d'un entrelacement attentif à rester sur les personnages et sur leurs visages. Le regard associé-anthropologique qui aperçoit dans la pellicule du metteur en scène bolonais atténue pas mal de le jugement politique sur les événements historiques qui assument un poids significatif seulement dans la partie finale du film dans laquelle il s'accomplit effectivement le massacre. Diritti regarde vers les intérieurs, les domestiques et pas, il positionne la caméra à hauteur d'enfant, en nous présentant les évènements à travers le regard involontaire du petit protagoniste qui ne réussit pas à comprendre la raison de tant de brutalité, des abus des soldats fascistes et nazis, de répondue viole des partisans. La simplicité des jeux se mélange au remue-ménage des évènements, la sérénité des paysages aux scènes de guerre, tout réalisé avec un vaste respire, avec un regard, qui si d'un coté il sait cueillir humainement les sensations d'incertitude et de peur et riproporcele avec acuité, de l'autre laisse le spectateur épelle d'effectuer une synthèse, de porter à fond les réflexions sur les faits, sur l'« homme qui viendra » ou qu'il est déjà. Dans nos méfiances, dans notre incapacité de peser sur la réalité, dans notre inadéquation dans savoir choisir nos libertés. Des libertés trop souvent confondues avec des concepts qui concernent les raisons d'« autres », ces substituées d'abstractions rhétoriques continuement réaffirmées pour s'affirmer comme « Vérité ». La pellicule regarde au passé mais on tourne le présent, à je peuple qu'en réalité il n'a jamais su ou voulu s'assumer les tragiques responsabilités historiques et qu'a préféré faire feinte de rien jusqu'à oublier plutôt que d'affronter lucidement une parcours de prise de conscience. Les morts tués de la violence nazi-fasciste hurlent dans les scènes finales leur présence, à la àquelle ils ne savent pas et aux àquels ils n'ont pas su tendres vis le souvenir, à ces spectateurs qui rarement connaissent les vérités sur cette période, erronéement considéré loin de ce que nous vivons, comme s'il s'agissait d'une époque lointaine, scollegata de notre réalité. En tout cas, revoir traité une période très importante à l'intérieur d'une pellicule italienne laisse bien espérer, laisse entendre que souterrainement quelque chose continue à rester vivant, qui une partie fondamentale de la culture et de la societé italienne retient nécessaire de ne pas abaisser la garde face aux divers tentés vous de rayer les traces du sacrifice de tous ces hommes et femmes qui ont lutté pour récupérer la dignité de je peuple que le Fascisme avait piétiné. Elle fut la rédaction de la Constitution à garantir un régime démocratique dans notre pays, et il est sur celui-ci qui continue à se jouer nos futur et nos vies. La défense d'elle des menaces continues concerne tous, pour continuer à laisser une éspoir à l'« Homme qui viendra ».

L'uomo che verrà / Giorgio Diritti / 2010 / 117'

Cinco años después de Il vento fa il suo giro, película reveladora de 2005, Giorgio Diritti ambienta su nueva película en el marco histórico de la célebre “Strage di Marzabotto” que vió casi 770 personas, entre hombres, mujeres y niños, matadas por las represalias alemanas.

 
 

Dirección: Giorgio Diritti
Guión: Giorgio Diritti, Giovanni Galavotti, Tania Pedroni
Interpretes: Maya Sansa (Lena), Alba Rohrwacher (Beniamina), Claudio Casadio (Armando), Greta Zuccheri Montanari (Martina), Stefano “Vito” Bicocchi (il Signor Bugamelli), Eleonora Mazzoni (la Signora Bugamelli), Orfeo Orlando (il mercante), Diego Pagotto (Pepe), Bernardo Bolognesi (partigiano Gianni), Stefano Croci (Dino), Zoello Gilli (Dante), Timo Jacobs (Ufficiale medico SS), Germano Maccioni (Don Ubaldo), Taddhaeus Meilinger (Capitano SS), Francesco Modugno (Antonio), Maria Grazia Naldi (Vittoria), Laura Pizzirani (Maria), Frank Schmalz (Ufficiale Wermacht), Tom Sommerlatte (Ufficiale SS), Raffaele Zabban (Don Giovanni)
Duración: 117 min
Nazionalidad: Italia
Año: 2010
Género: Dramático
Distribución: Mikado
Producción: Arancia Film e Rai Cinema


Martina es una niña de ocho años que vive en una familia campesina en los pendices de los Apeninos boloñeses. Fuertemente traumatizada por haber asistido a la muerte de su hermano recién nacido, evento que la deja perder el habla y que la obliga a comunicar sólo a través de los gestos o gracias a unos apuntes escritos, se encuentra testigo de la terrible tragedia conocida como el “Masacre de Marzabotto”. Los acontecimientos de la familia y de la comunidad a la que pertenece se mezclan con los acontecimientos históricos: Lena, la madre de Martina, está otra vez embarazada y la familia vive con ansiedad los meses de espera mientras la agravación de los enfrentamientos debidos a la guerra corriente vuelve siempre más dificil la vida de la comunidad.
Es el invierno de 1943, el armisticio entre Badoglio y los anglo-americanos ha sido firmado e Italia se encuentra dividida en dos, ocupada por los Aliados en el sur y por el ejercito Nazi apoyando la República de Salò en el norte. Grupos de partisanos empiezan a formarse en el Norte de Italia, dando lugar al movimiento de Resistencia que restituirá dignidad al pueblo italiano comprometido por decenios de dictadura fascista.
L’uomo che verrà evidencia una vez más la necesidad de volver a razonar sobre uno de los momentos fundamentales de la historia nacional de ‘900, la caída del Fascismo e la lucha partisana más allá de la Linea Gótica. Tema que, paradojicamente, vuelve a crear siempre fuertes enfrentamientos dentro de la opinión pública de un país como Italia que en aquella época eligió conferir a su nueva Constitución los valores de antifascismo. Esta ambigüedad, sobre la que se basa la historia italiana del segundo posguerra hasta hoy, justifica según mi opinión la necesidad de volver muy a menudo sobre este pasaje que, evidentemente, no ha sido nunca resuelto y que cada vez que parece que se esté olvidando vuelve todavía más fuerte, como una herida abierta nunca sanada. Muchos de los períodos calientes del segundo novecientos italiano encuentran su justificación en este nudo nunca desatado: los tumultos estallados después de la esclusión del PCI (Partido Comunista Italiano) por los gobiernos democristianos justo después de la guerra, las jornadas de Julio 1960, la formación de las Brigadas Rojas que ya en el nombre recuerdan la lucha partisana, y el clima de violenta contraposición que marca la vida de muchas ciudades italianas en los años ‘70 y ’80.
Pero a decir la verdad, L’uomo che verrà no es una película esencialmente histórico-política, habla sobre todo de la desaparición de un mundo que tiene sus origenes en una cultura milenaria, donde la cotidianidad de la gente se fundaba sobre un equilibrio de reciproca necesidad entre Hombre y Naturaleza. Un mundo y una manera de vivir relacionados al ciclo natural de las estaciones, a una religiosidad espontánea y popular, a unos ritos que subrayaban todavía más la pertenencia a un grupo. Evidente es la referencia al célebre L’albero degli zoccoli di Ermanno Olmi: la elección del dialecto que refuerza el vínculo de los personajes con el ambiente circunstante, los paisajes y los lugares que adquieren el papel de protagonistas, la sencillez de una trama atenta en permanecer sobre sus personajes y sus rostros. La mirada socio-antropológica que se nota en la película del director boloñés atenua mucho el juicio político sobre los acontecimientos históricos, los que adquieren una significativa importancia solo en la parte final de la película donde de hecho se realiza el masacre.
Diritti mira hacia los interiores, domésticos y no, pone la videocámara a la misma altura de la mirada de la pequeña protagonista, presentándonos los acontecimientos a través de su mirada desconocedora que no consigue entender la razón de dicha brutalidad, de los abusos de los soldados fascistas y nazis, de la respuesta violenta de los partisanos. La sencillez de los juegos se mezcla con la confusión de los eventos, la serenidad de los paisajes con las escenas de guerra, todo realizado con un amplio respiro, con una mirada, que si por un lado sabe coger de manera humana las sensaciones de incertidumbre y de miedo y vuelve a proponerlas con agudez, por el otro lado deja al espectador la tarea de hacer una analisis, de profundizar las reflexiones sobre los hechos, sobre “el hombre que vendrá” o que ya existe. En nuestros recelos, en nuestra incapacidad de incidir en la realidad, en nuetra inadecuación de saber elegir nuestras libertades. Libertades muy a menudo confundidas con conceptos que se refieren a las razones de “otros”, sustituidas por abstracciones retóricas continuamente repetidas para afirmarse como “Verdades”.
La película mira hacia el pasado pero se dirige al presente, a un pueblo que en realidad nunca ha sabido o ha querido asumirse las trágicas responsabilidades históricas y que ha preferido hacer como quien no hace hasta olvidar en lugar de enfrentar claramente un camino de toma de conciencia. En las escenas los muertos matados por la violencia nazi-fascista gritan su presencia a los que no saben y a los que no supieron tener vivo el recuerdo, a los espectadores que muchas veces no conocen la verdad de aquel tiempo considerado erróneamente lejano de lo que vivimos, como si se tratara de una época desconectada de nuestra realidad.
De todas formas, volver a ver tratado un período tan importante en una película italiana nos deja esperar, nos deja entender que todavía algo sigue vivo, que una parte fundamental de la cultura y de la sociedad italiana considera necesario no bajar la guardia frente a los diversos intentos de borrar las huellas del sacrificio de todos aquellos hombres y mujeres que lucharon para recuperar la dignidad de un pueblo que el Fascismo había pisado. La redacción de la Constitución garantizó un régimen democrático en nuestro país, y es en ésa que sigue jugándose nuestro futuro y nuestras vidas. Su defensa frente a las continuas amenazas concierne a todos, para que se siga dejando una esperanza al “hombre que vendrá”.

 
L'uomo che verrà / Giorgio Diritti / 2010 / 117'

Sullo sfondo storico della celebre “Strage di Marzabotto”, che vide uccisi dalle rappresaglie tedesche circa 770 persone tra uomini, donne e bambini, Giorgio Diritti ambienta la sua nuova pellicola, cinque anni dopo il precedente Il vento fa il suo giro, film rivelazione del 2005.

 
 

Regia: Giorgio Diritti
Sceneggiatura: Giorgio Diritti, Giovanni Galavotti, Tania Pedroni
Interpreti: Maya Sansa (Lena), Alba Rohrwacher (Beniamina), Claudio Casadio (Armando), Greta Zuccheri Montanari (Martina), Stefano “Vito” Bicocchi (il Signor Bugamelli), Eleonora Mazzoni (la Signora Bugamelli), Orfeo Orlando (il mercante), Diego Pagotto (Pepe), Bernardo Bolognesi (partigiano Gianni), Stefano Croci (Dino), Zoello Gilli (Dante), Timo Jacobs (Ufficiale medico SS), Germano Maccioni (Don Ubaldo), Taddhaeus Meilinger (Capitano SS), Francesco Modugno (Antonio), Maria Grazia Naldi (Vittoria), Laura Pizzirani (Maria), Frank Schmalz (Ufficiale Wermacht), Tom Sommerlatte (Ufficiale SS), Raffaele Zabban (Don Giovanni)
Durata: 117 min
Nazionalità: Italia
Anno: 2010
Genere: Drammatico
Distribuzione: Mikado
Produzione: Arancia Film e Rai Cinema


Martina è una bambina di otto anni che vive alle pendici degli Appennini bolognesi in una famiglia contadina. Fortemente traumatizzata per aver assistito alla morte del fratellino appena nato, evento che l’ha resa muta e che le impone di comunicare solamente attraverso i gesti o grazie a qualche foglietto scritto, si ritrova testimone dell’immane tragedia passata alla storia come la “Strage di Marzabotto”. Gli eventi della famiglia e della comunità a cui appartiene si mescolano alle vicende storiche: Lena, la madre di Martina, è nuovamente incinta e la famiglia vive con trepidazione i mesi di attesa mentre l’inasprimento degli scontri dovuti alla guerra in corso rende sempre più difficile la vita della comunità.
Siamo nell’inverno del 1943, l’armistizio tra Badoglio e gli Anglo-americani è già stato firmato e l’Italia si trova divisa in due, occupata a sud dalle forze Alleate e al nord dall’esercito Nazista in appoggio alla Repubblica di Salò. Gruppi di partigiani cominciano a formarsi in tutto il Nord-Italia, dando luogo a quel movimento di Resistenza che restituirà dignità al popolo italiano compromesso da decenni di dittatura fascista.
L’uomo che verrà mette in luce una volta di più la necessità di ritornare a ragionare su uno dei momenti fondamentali della storia nazionale del ‘900, la caduta del Fascismo e la lotta partigiana al di là della Linea Gotica. Argomento che, paradossalmente, ricrea sempre forti scontri all’interno dell’opinione pubblica di un paese come l’Italia che scelse allora di improntare la sua nuova Costituzione sui valori dell’Antifascismo. Questa ambiguità di fondo, che sta alla base della storia italiana dal secondo dopoguerra a oggi, giustifica a mio avviso la necessità di tornare ogni volta su questo passaggio che evidentemente non è stato mai risolto e che ogni volta che sembra stia scivolando lentamente verso l’oblio ritorna in maniera prepotente, come una ferita aperta mai risanata. Molti dei periodi caldi del secondo novecento italiano trovano la loro giustificazione in questo nodo mai sciolto: i tumulti scoppiati in seguito all’esclusione del PCI dai governi democristiani subito dopo la guerra, le giornate del Luglio 1960, la formazione delle Brigate Rosse che presentano già nel nome un evidente richiamo alla lotta partigiana, e il clima di contrapposizione violenta che segna la vita di molte città italiane negli anni ‘70 e ’80.
Ma a dire il vero, L’uomo che verrà non è un film intrinsecamente storico-politico, l’opera parla principalmente della scomparsa di un mondo che affondava le sue radici in una cultura millenaria, dove la quotidianità della gente era basata su un equilibrio di reciproco bisogno tra Uomo e Natura. Un mondo e un modo di vivere legati al ciclo naturale delle stagioni, ad una religiosità spontanea e popolare, a dei riti che rendevano ancora più manifesta l’appartenenza ad un gruppo. Evidente il richiamo al celebre L’albero degli zoccoli di Ermanno Olmi: la scelta del dialetto che rafforza il legame dei personaggi con l’ambiente circostante, i paesaggi e i luoghi che assumono un ruolo di protagonisti, la semplicità di un intreccio attento a rimanere sui personaggi e sui loro volti. Lo sguardo socio-antropologico che si intravede nella pellicola del regista bolognese smorza parecchio il giudizio politico sugli eventi storici, i quali assumono un significativo peso solamente nella parte finale del film in cui si compie effettivamente l’eccidio.
Diritti guarda verso gli interni, domestici e non, posiziona la telecamera ad altezza di bambina, presentandoci gli eventi attraverso lo sguardo inconsapevole della piccola protagonista che non riesce a comprendere la ragione di tanta brutalità, dei soprusi dei soldati fascisti e nazisti, della risposta violenta dei partigiani. La semplicità dei giochi si mescola al trambusto degli eventi, la serenità dei paesaggi alle scene di guerra, il tutto realizzato con un ampio respiro, con uno sguardo, che se da un lato sa cogliere umanamente le sensazioni di incertezza e di paura e riproporcele con acutezza, dall’altro lascia allo spettatore il compito di effettuare una sintesi, di portare a fondo le riflessioni sui fatti, sull’ “uomo che verrà” o che è già. Nelle nostre diffidenze, nella nostra incapacità di incidere sulla realtà, nella nostra inadeguatezza nel saper scegliere le nostre libertà. Libertà troppo spesso confuse con concetti che riguardano le ragioni di “altri”, quelle sostituite da astrazioni retoriche continuamente ribadite per affermarsi come “Verità”.
La pellicola guarda al passato ma si rivolge al presente, ad un popolo che in realtà non ha mai saputo o voluto assumersi le tragiche responsabilità storiche e che ha preferito far finta di niente fino a dimenticare piuttosto che affrontare lucidamente un percorso di presa di coscienza. I morti uccisi dalla violenza nazi-fascista urlano nelle scene finali la loro presenza, a coloro che non sanno e a coloro che non hanno saputo tenere vivo il ricordo, a quegli spettatori che raramente conoscono le verità su quel periodo, erroneamente considerato lontano da ciò che viviamo, come se si trattasse di un’ epoca lontana, scollegata dalla nostra realtà.
In ogni caso, rivedere trattato un periodo tanto importante all’interno di una pellicola italiana lascia ben sperare, lascia intendere che sotterraneamente qualcosa continua a rimanere vivo, che una parte fondamentale della cultura e della società italiana ritiene necessario non abbassare la guardia di fronte ai vari tentativi di cancellare le tracce del sacrificio di tutti quegli uomini e donne che hanno lottato per recuperare la dignità di un popolo che il Fascismo aveva calpestato. Fu la stesura della Costituzione a garantire un regime democratico nel nostro paese, ed è su questa che continua a giocarsi il nostro futuro e le nostre vite. La difesa di essa dalle continue minacce riguarda tutti, per continuare a lasciare una speranza all’”Uomo che verrà".

 


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Reg. Court of Palermo (Italy) n°21, 19.10.2001
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Bibliography, links, notes:

pen: Giorgio Lisciandrello

translation: Béatrice Lajous

 
 
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