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Writing - About Writing - Article | by Giuseppe Guarneri in Writing - About Writing on 05/11/2007 - Comments (0)
 
 
Apologie de la lenteur

Réfléchir sur la valeur positive de la lenteur entre les replis de la littérature.

Si vous avez hâte ne vous arrêtez pas à lire !

 
 

Du grec bradýs dérivent peu de mots italiens et tous exempts de connotations négatives. Le mot lenteur, du latin, renferme au contraire des valeurs péjoratives : lent donc lent d’esprit, donc stupide. Ainsi, la dignité d’un concept est raillée par un emploi latéral du terme, qui a amené à l’assimilation des significations.
La philologie décrit le parcours qui a été accompli par le terme lenteur, mais c’est la révolution industrielle qui a transformé en dangereux ennemi public tout ce qui obstinément continuait à être lent, tout ce qui s’opposait statiquement au temps qui s’écoule rapidement. La modernité a modifié la perception du temps de l’homme ; en accélérant les phases productives, des vides temporels se sont créés et l’industrie culturelle a exploité ces espaces pour gérer et organiser le soi-disant temps libre.
La première innovation technologique qui a révolutionné la vie quotidienne a été le chemin de fer. Le voyage a connu la rapidité, les lieux sont devenus tout à coup plus proches, l’espace a subi une compression. La littérature, naturellement, est elle-même bouleversée par cette altération des distances. On ne peut imaginer Don Quichotte sur son destrier qui traverse les territoires, les aventures potentielles, en employant des jours et des jours ; moins que jamais la modernité donne espérance au méditatif pas de l’âne de Sancho Pança.
De Vigny dit : « Adieu, voyages lents, bruits lointains qu’on écoute » ; le train coupe bruyamment le paysage en abîmant l’environnement ; De Vigny ressent un nouveau malaise : la hâte.
Le commerce est peut être le premier destinataire des conséquences de la vitesse : rapidité de production, de vente, de distribution, de communication, de profits : mais cette accélération oblige les citoyens à la rapidité d’utilisation et la détérioration des marchandises est imposée comme stratégie du marché, en utilisant des matériaux de mauvaise qualité et l’arme subtile des modes.
A l’insu de la conscience de l’individu on a créé de nouveaux besoins, ni primaires ni durables. Dans le tourbillonnant engrenage de la production de biens l’homme et la femme deviennent consommateurs.
Paradoxe de la modernité : les temps de travail ont diminué, mais les personnes n’ont pas, ou déclarent de ne pas avoir, assez de temps à dédier à eux-mêmes. La rapidité facilite les manipulations, sans jamais s’arrêter à réfléchir ; c’est plus facile d’oublier les faits et l’histoire.
(…)
Un frisson de conscience a parcouru depuis peu le corps asthénique de l’homme contemporain et les initiatives en faveur de la lenteur n’ont pas manqué ; il s’en est suivi une pluie de nouvelles modes (slow food) et de publications visées à désaltérer la demande croissante de renseignements à ce propos. La valeur effective de ces analyses reste douteuse et tout en ayant le mérite d’avoir diffusé une pensée normalement boycottée par le système, elle reste un phénomène éphémère transitoire, mâchée peut-être lentement mais digérée et oubliée trop rapidement ; bref, une conséquence de la mode.
La Biennale de Venise offre une suggestion intéressante. Un vent d’espérance arrive d’Orient, qui voit dans la hâte un mal qui afflige l’Occident et qui invite tout le monde de cette manière : Please slow down.
Les cultures anciennes, lointaines, peuvent sûrement être un remède à l’avidité de la globalisation; des cultures qui, cependant, se montrent actuelles et pertinentes ;même les cultures plus proches et connues possèdent le sens de la lenteur. Les temps de Silène sont révolus ; il recherchait la sagesse en errant lentement sur son âne ? On ne subit plus le charme de la phrase d’amour qu’Apollon adressait à sa bien-aimée Daphné en fuite ? “Moderatius, oro, curre fugamque inhibe; moderatius insequar ipse” (cours, je t’en prie, plus lentement; retiens la fuite, et moi je te suivrai avec moins d’ardeur). La littérature ne peut pas ignorer le temps ; la narration est tout d’abord une exposition chronologique des faits.
(…)
Onofri exprime bien le perception commune de la lenteur :
« Avant je considérais la lenteur comme un défaut à éliminer, presque une maladie à soigner ». Le traitement existe, c’est Antoine de Saint – Exupéry qui le prescrit ; à vous de choisir : être le marchand ou le petit prince.
« Bonjour », dit le petit prince.
« Bonjour », dit le marchand.
C’était un marchand de pilules perfectionnées qui apaisent la soif. On en avale une par semaine et l’on n’éprouve plus le besoin de boire.
« Pourquoi vends-tu ça ? » dit le petit prince.
« C’est une grosse économie de temps, dit le marchand. Les experts ont fait des calculs. On épargne cinquante-trois minutes par semaine.
« Et que fait-on de ces cinquante-trois minutes ? »
« On en fait ce que l’on veut… »
« Moi, se dit le petit prince, si j’avais cinquante-trois minutes à dépenser, je marcherais tout doucement vers une fontaine… ».

 
Apologia della lentezza

Riflettere sul valore positivo della lentezza tra le pieghe della letteratura. Se avete fretta non fermatevi a leggere!

 

 
 

Dal greco bradýs derivano poche parole italiane e tutte scevre di connotazioni negative. La parola lentezza, dal latino, racchiude invece valori dispregiativi: lento quindi tardo, quindi stupido. Così la dignità di un concetto è irrisa da un uso laterale del termine, che ha portato all’assimilazione dei significati.
La filologia descrive il percorso che ha compiuto il termine lentezza, ma è la rivoluzione industriale ad aver trasformato in pericoloso nemico pubblico tutto ciò che ostinatamente continuava ad essere lento, che si opponeva staticamente al rapido passo dei tempi. La modernità ha modificato la percezione del tempo dell’uomo; accelerando le fasi produttive si sono creati dei vuoti temporali e l’industria culturale ha sfruttato questi spazi per gestire e organizzare il cosiddetto tempo libero.
La prima innovazione tecnologica che ha rivoluzionato la vita quotidiana è stata la ferrovia. Il viaggio ha conosciuto la rapidità, i luoghi sono diventati di colpo più vicini, lo spazio ha subito una compressione. La letteratura, naturalmente, viene anch’essa turbata da questa alterazione delle distanze. Non si può più immaginare don Chisciotte sul suo destriero che attraversa territori, potenziali avventure, impiegando giorni e giorni; meno che mai la modernità lascia speranze al meditativo passo dell’asino di Sancho Panza.
De Vigny dice: “Adieu, voyages lents, bruits lointains qu’on écoute” (“ Addio, viaggi lenti, rumori lontani che ascoltiamo”); il treno taglia rumorosamente il paesaggio deturpando la natura, de Vigny avverte un nuovo disagio: la fretta.
Il commercio è forse il primo destinatario dei frutti della rapidità: velocità di produzione, di vendita, di distribuzione, di comunicazione, di profitti; ma questa accelerazione costringe i cittadini alla velocità d’utilizzo e il deperimento delle merci è imposto come strategia di mercato, usando materiali scadenti e l’arma sottile delle mode.
All’insaputa della coscienza dell’individuo sono creati nuovi bisogni, non primari e non duraturi. Nel vorticoso ingranaggio della produzione dei beni l’uomo e la donna diventano consumatori.
Paradosso della modernità: i tempi di lavoro sono diminuiti, ma la gente non ha, o dichiara di non avere, abbastanza tempo da dedicare a se stessa. La rapidità agevola le manipolazioni, senza mai fermarsi a riflettere è più facile far cadere nell’oblio i fatti e la storia. Dimenticando ingolliamo pezzi di futile presente. Kundera nel suo libro La lentezza sottolinea quest’aspetto:
“ C’è un legame segreto fra lentezza e memoria, fra velocità e oblio. Prendiamo una situazione delle più banali: un uomo cammina per la strada. Ad un tratto, cerca di ricordare qualcosa, che, però gli sfugge. Allora, istintivamente, rallenta il passo. Chi, invece, vuole dimenticare un evento penoso appena vissuto accelera inconsapevolmente la sua andatura, come per allontanarsi da qualcosa che sente ancora troppo vicino a sé nel tempo”.Parlando del periodo storico in cui viviamo annota:
“La nostra epoca è ossessionata dal desiderio di dimenticare ed è per realizzare tale desiderio che si abbandona al demone della velocità”.Già, un demone! Kundera si chiede poi perché sia scomparso il piacere della lentezza e con esso tutto il fascino dell’abbandono contemplativo:
“Perché scomparso il piacere della lentezza? Dove mai sono finiti i perdigiorno di un tempo? Dove sono quegli eroi sfaccendati delle canzoni popolari, quei vagabondi che vanno a zonzo da un mulino all’altro e dormono sotto le stelle? (…) Nel nostro mondo, l’ozio è diventato inattività, che è tutt’altra cosa: chi è inattivo è frustrato, si annoia, è costantemente alla ricerca del movimento che gli manca”.Sotto questo punto di vista anche la vita malsana di Oblomov diventa un’esistenza eroica. L’individuo però è schiacciato dalla società, costretto dalle regole della moltitudine ad agire secondo canoni prestabiliti e logoranti.
“Nelle moderne società post – industriali la velocità è diventata il parametro con cui misurare e quindi dare valore a tutte le attività umane non solo lavorative ma anche turistico – ricreative. Occorre invece riscoprire la lentezza tutte le volte che ciò è possibile, esercitarsi a riscrivere la nostra vita secondo nuovi parametri, opporsi con azioni continue alla dittatura della velocità. Nella rapidità del cambiamento a cui siamo sottoposti quotidianamente si fonda l’ideologia della violenza istituzionale che il sistema occidentale perpetua e impone nella nostra vita e nel nostro immaginario”.Incontestabile denuncia di Codello nel suo articolo “Elogio dell’indugiare”. La dittatura della velocità – egli scrive - e subito riaffiorano alla mente gli intenti culturali dei futuristi, tanto cari al regime fascista:
“Bisogna perseguitare, frustare, torturare tutti coloro che peccano contro la velocità. Soltanto la velocità potrà uccidere il velenoso chiaro – di – luna, nostalgico, sentimentale, pacifista e neutrale. Italiani, siate veloci e sarete forti, ottimisti, invincibili, immortali!” Marinetti, Manifesto Futurista.
Altro periodo storico, si dirà, ma più recentemente Berlusconi, allora Presidente del Consiglio, descrivendo il processo di attivazione di una legge nel suo discorso alla Confindustria così argomentava: “Disegno di legge, discussione parlamentare e Senato (e ritorno), aggiunta modifiche rimando quindi al Senato e ritorno alla Camera, approvazione legge, Gazzetta ufficiale, circolari d’attuazioni, recepire la legge attraverso la lentezza dei burocratici e finalmente attuazione della legge”.Sicuramente una descrizione come questa genera indignazione tra gli elettori, che vorrebbero uno stato rapido ed efficace, ma il dialogo democratico è proprio questo, il contatto diretto tra la volontà del capo del governo e l’applicazione della legge si ha soltanto nelle dittature: “La nation devient une machine à laquelle le maître imprime une accélération effrénée” (“ La nazione diventa una macchina alla quale il padrone imprime un’accelerazione sfrenata”), De Gaulle, Discours de Bayeux, 1946.
La società deve correre. Se si ferma a riflettere l’economia è perduta e la politica deve proteggere l’economia…
Conferenza al Netherlands Design Institute di Amsterdam 1996, Ivan Illich così descriveva l’uomo contemporaneo:
“L’homo technologicus è stato ossessionato dall’esperienza della velocità: dalla casa alla fabbrica, attraverso le scuole e i mestieri, dal lavoro alle vacanze, soffrendo sempre di mancanza di tempo con orari stretti scanditi dall’orologio”.Siamo partiti dal disagio di de Vigny e arriviamo al disagio delle masse. “Tempo e vita quotidiana” di Gasparini analizza con la lente della sociologia il fenomeno. “Che cosa fa scattare la soglia del disagio, nella percezione diffusa della scarsità del tempo? Sappiamo che essa è l’altra faccia della medaglia di una straordinaria moltiplicazione di attività, informazioni, esperienze, ruoli sociali e fruizione di beni e servizi che è consentita ai membri dai nostri sistemi e che non ha precedenti nella storia. Ma proprio questo ampliamento, favorito e stimolato da moderni strumenti e tecnologie, è il principale fattore di una pressione temporale che si manifesta anzitutto in quanto premura, fretta, febbrilità, ritmi di vita accelerati (…) Dentro questo processo di moltiplicazione delle attività, giocano, nello sviluppare un elevato grado di pressione temporale, gli stessi caratteri della cultura del tempo dominante nei nostri sistemi, vale a dire il netto privilegiamento di un approccio quantitativo alla temporalità, la concezione efficientistica, economocistica e utilitaristica del tempo, la velocità come valore primario (con l’implicito corollario della lentezza come disvalore)”.Un brivido di consapevolezza ha percorso da poco il corpo astenico dell’uomo contemporaneo e le iniziative in favore della lentezza non sono mancate; è stato un fioccare di nuove mode (slow food) e pubblicazioni mirate a dissetare la crescente richiesta d’informazioni al riguardo. Il valore effettivo di queste analisi resta dubbio e pur avendo il merito d’aver diffuso un pensiero normalmente boicottato dal sistema, resta un effimero fenomeno transitorio, masticato magari lentamente ma digerito e dimenticato troppo velocemente, figlio di una moda insomma.
La Biennale di Venezia offre uno spunto interessante. Un vento di speranza arriva dall’Oriente, che vede nella fretta un male che affligge l’Occidente, invita tutti così: Please Slow Down. La mostra della sala Thailand ha nella brochure questo testo: “Questo è il tema che vorremmo presentarvi, come chiave di volta, per non smarrirvi di fronte a nuova cultura: quella occidentale per gli orientali e quella orientale per gli occidentali. Il rischio che corriamo nell’aver fretta di assimilare i modi e la filosofia di vita straniera sta nella perdita delle caratteristiche individuali o addirittura dell’identità nazionale. Perciò vi preghiamo: fermatevi! (…) Il fermarsi per non partecipare alle regole che non abbiamo stabilito è una scelta coraggiosa e paziente, in linea con la filosofia Thai- Buddista”.Culture antiche, a noi estranee, possono sicuramente essere un rimedio all’avidità della globalizzazione; culture antiche che tuttavia si dimostrano attuali e pertinenti. Anche culture a noi teoricamente più vicine e note sono portatrici sane di lentezza. Sono finiti i tempi di Sileno, che ricercava la saggezza errando al passo lento del suo asino? Non subiamo più il fascino della frase amorosa che Apollo indirizza alla sua amata Dafne in fuga? “Moderatius, oro, curre fugamque inhibe; moderatius insequar ipse” (corri, ti prego, più adagio; trattieni la fuga, e anch’io con minor lena ti inseguirò). La letteratura non può ignorare il tempo, la narrazione è prima d’ogni altra cosa un’esposizione cronologica dei fatti. Italo Calvino nelle sue “Lezioni Americane” dedica un capitolo alla rapidità, ma è Umberto Eco a chiarire i contorni di questa scelta.
“Era davvero indispensabile che Calvino, quando ha fatto l’elogio della rapidità, avvertisse: « Con questo non voglio dire che la rapidità sia un valore in sé: il tempo narrativo può essere anche ritardante, o ciclico, o immobile… Questa apologia della rapidità non pretende di negare i piaceri dell’indugio»”.Calvino, infatti, parlando della rapidità descrive per specularità l’indugio. “In Sicilia chi racconta le fiabe usa la formula: «lu cuntu nun metti tempu.»” Nelle fiabe l’indugio è fondamentale, se Cappuccetto Rosso corresse a casa della nonna non incontrerebbe il lupo, ovvero non esisterebbe la fiaba. L’importanza della lentezza prima di compiere una grande impresa viene sottolineata nella storia cinese che Calvino riporta nel capitolo sulla rapidità. “Tra le molte virtù di Chuang – Tzu c’era l’abilità nel disegno. Il re gli chiese il disegno d’un granchio. Chuang – Tzu disse che aveva bisogno di cinque anni di tempo e d’una villa con dodici servitori. Dopo cinque anni il disegno non era ancora cominciato. «Ho bisogno di altri cinque anni» disse Chuang – Tzu. Il re glieli accordò. Allo scadere dei dieci anni, Chuang – Tzu prese il pennello e in un istante, con un solo gesto, disegnò un granchio, il più perfetto granchio che si fosse mai visto.”.Il gesto rapido dell’esecuzione annulla la lentezza della creazione artistica? Il granchio fu disegnato in un istante o dopo dieci lunghi anni?
Senza la lentezza non avremmo molti capolavori della letteratura. “Un certo Monsieur Humblot, respingendo per l’editore Ollendorf il manoscritto della Recherche di Proust, aveva scritto: «Sarò forse duro di comprendonio, ma non riesco proprio a capacitarmi del fatto che un signore possa impiegare trenta pagine per descrivere come si giri e rigiri nel letto prima di prendere sonno»”.Onofri esprime bene il sentire comune nei confronti della lentezza:
“Un tempo consideravo la lentezza come un difetto da eliminare, quasi una malattia da curare”.La cura esiste, la prescrive Antoine de Saint – Exupéry, a voi la scelta se essere il mercante o il piccolo principe.
“Buon giorno”, disse il piccolo principe.
“Buon giorno”, disse il mercante.
Era un mercante di pillole perfezionate che calmavano la sete. Se ne inghiottiva una alla settimana e non si sentiva più il bisogno di bere.
“Perché vendi questa roba?” disse il piccolo principe.
“È una grossa economia di tempo”, disse il mercante. “Gli esperti hanno fatto dei calcoli. Si risparmiano cinquantatré minuti alla settimana”
“ E che cosa se ne fa di questi cinquantatré minuti?”
“Se ne fa quel che si vuole…”
“Io”, disse il piccolo principe, “ se avessi cinquantatré minuti da spendere, camminerei adagio adagio verso una fontana…”

 

 

 

 

 


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Bibliography, links, notes:

Pen: Giuseppe Guarneri

Translation: Marie Denise Sclafani

Per i riferimenti delle opere citate e per una bibliografia minima dell’argomento, si veda la sezione Bibliography

 

 

 
 
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